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(☢) Jingai-san no Yome



Pourquoi avons-nous regardé ça ? Qu’espérions-nous exactement ? Nous ne sommes plus sûrs… Expliquer que cet anime ne devrait pas exister serait d’une facilité déconcertante… c’est pourquoi nous allons le faire en essayant de limiter la casse ! Nous avons regardé Jingai-san no Yome pour des raisons inconnues et nous le recommandons avec beaucoup de difficulté…


Jeune lycéen sans histoire, Hinowa Tomari est choisi par une étrange chose poilue, nommée Kanenogi, pour qu’il devienne son épouse. Et ils se marient la seconde qui suit parce que le consentement, ça vient après, tout le monde le sait…



Un synopsis honnête


On peut lui reconnaître ça : il n’a pas menti. Nous l’avons lu et nous avons eu exactement ce qu’il prédisait. En revanche, on se demande encore comment on a pu penser que non. L’espoir et la naïveté sans doute…


C’est drôle…


… Avec des potes et dans un état second. Jingai-san no Yome est quand même catégorisé comme une comédie, même si le doute peut persister. On suit le quotidien pas comme les autres de lycéens reconvertis en jeunes mariées. Ces derniers prennent très au sérieux leur relation avec les animaux de compagnie qui leur servent de maris (vous aurez du mal à nous convaincre du contraire pour certains) et c’est ça précisément qui doit être drôle. Sur la cinquantaine de personnes qui ont vu cet anime, nous supposons que quelques-unes ont dû se marrer. Pour notre part, nous avons été plus circonspects qu’hilares, mais nous ne pouvons pas généraliser non plus.


Joli couple, non ?

Des personnages choupinous


Le character design des personnages est sympathique sans être marquant. Ils sont tous mignons, bien que ça manque un tantinet de pack de six et de biceps luisants. Même les créatures sont rigolotes visuellement… Mais impossible d’oublier la nature de leurs relations. Seule la boisson pourrait y remédier.


Une durée d’épisode parfaite !


Ça ne dure que 3 minutes, générique inclus. Ça fait donc à peu près 1 m 30 l’épisode. On ne le voit presque pas passer. Heureusement que ce ne fait pas 6 minutes, ou autrement dit la durée des hentais récents… Heu… Comment on le sait ? On en a juste entendu parler, hein ! Rien de plus…


C’est chaste !


Même si Hinowa passe beaucoup de temps à regarder la queue de son mari, ça l’est ! Quant aux gouttelettes visqueuses sur l’écran titre, c’est de la bave… Enfin, on espère. Et même si Hinowa se montre particulièrement tactile avec son époux, ce n’est que dans sa fourrure qu’il souhaite passer sa main. Heureusement ! D’habitude, nous aimons quand il y a un peu plus de piment, mais là, nous ne pouvons qu’apprécier l’assaisonnement actuel.


Émotion forte garantie !


L’embarras est une émotion.


Un mystère à décrypter


Qu’est-ce que Jingai-san no Yome au final ? Une validation de la zoophilie ? Après tout, vous avez vu la tête des maris ? Une réflexion sur le genre ? C’est vrai que les lycéens endossent ici le rôle de jeunes mariées. Ou une blague à laquelle on donne beaucoup trop de crédit ? Le visionnage de ce genre d’anime nécessite que l’on éteigne son cerveau, mais peu de personnes y parviendront ! Le mystère entourant la série reste complet et stimule l’imagination. Qui a pu avoir cette idée ? Qu’est-ce qui est drôle dans cet anime ? Jingai-san no Yome ouvre la porte à beaucoup de questionnements, mais n’en répond à aucune.



Jingai-san no Yome, ça existe. Le gratifier d’un petit « Japon, rentre chez toi ! Tu fais n’importe quoi ! » serait facile et démontrerait un manque d’ouverture d’esprit… mais difficile de résister à la tentation.



Pour un visionnage optimal :

Regardez des vidéos de chats qui se coincent dans des bocaux, c’est plus mignon, plus marrant, tout aussi inutile, mais surtout moins malaisant.

Si nous vous avons convaincu et même si ce n'est pas le cas : revenez nous voir. Bien ou mal vos réactions sont les bienvenues. Merci d'avoir lu jusqu'au bout cette contre-recommandation… qui a duré aussi longtemps qu’un épisode de la série…




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